PAYSAGES ONIRIQUES.
Que serait la photo d’art sans subtilité, sans contemplation ?
Nous passons désormais notre vie littéralement ensevelis par des images, mais peut-on encore appeler la plupart d’entre elles une photographie, avec comme connotation ce parfum désuet d’objet d’art, vieilli, aux couleurs passées, mais pourtant si touchantes ?
J’aime à penser que certaines peuvent vous arrêter, vous figer un instant dans un état légèrement rêveur, peut être en vous susurrant quelques mots apaisants pour l’âme. Et quoi de mieux qu’un paysage ?
J’ai donc voulu travailler non pas sur ce que nous voyons tous lors d’un magnifique couché de soleil, et transcrit en objet numérique à grands coups de pixels et de 5K.
Non, je préfère définitivement vous emmener vers le chemin plus subtil de l’introspection, vers l’imaginaire et ce que vous pouvez vous imaginer d’un paysage.
Cette série n’a donc pas vraiment pour but d’être achevée, mais plutôt modifiée au cours du temps, remodelée au gré des saisons et de mes humeurs.
Pour un meilleur confort, préférez un écran d’ordinateur ou de tablette.